Gaulmyn sous l’étendard de la croix gommée…

La Croix est un journal catholique, comme la baleine est un mammifère et Léo Lacroix un défenseur central international. Mais comme la baleine, c’est quand même plus assimilable à un gros poisson et Lacroix à une tanche dont on ne voudrait même pas en National 1, le journal La Croix l’est en fait à la version papier d’une célèbre marque d’eau de javel.

La rédactrice en chef de La Croix est une certaine Isabelle de Gaulmyn, qui a eu son petit quart d’heure warholien en médiatisant une affaire d’abus homosexuels dans le diocèse de Lyon parce que l’exploitation de la souffrance des victimes servait sa cause. D’autres victimes n’ont pas eu sa sollicitude (qu’elles soient fillettes victimes d’instituteurs, de migrants, de réseaux pakistanais, de Daech ou de la junte birmane). La ci-devant Gaulmyn, une fanatique conciliaire dont la haine contre les tradis est notoire, tient des propos ahurissants sur le vote du génocide silencieux en Irlande dans son éditorial du 28 mai.

Comme le signalait le Salon Beige :

« Mais, à supposer même que le débat ait été effectivement digne et pluraliste, à supposer que ce référendum ait respecté tous les usages démocratiques, en quoi est-ce que cela garantit la légitimité des résultats ? Personne, à ma connaissance, n’a jamais contesté que la majorité nationale-socialiste de 1933 ait été légalement élue en Allemagne, ni que le Reichstag ait respecté les procédures parlementaires. Va-t-on en déduire que les lois de Nuremberg ont été légitimes ? Chacun voit bien à quelle conclusion absurde nous conduisent les prémisses insensées de Mme de Gaulmyn ». Elle déclare aussi, toute honte bue, que : « La vie n’est pas qu’un phénomène physique, comme semblait le dire la Constitution irlandaise, qui mettait un signe d’égalité stricte entre une vie déjà là, celle de la mère, et une vie en devenir. Sa richesse se mesure aussi aux relations nouées, le cas échéant avec les autres enfants, et à tout le poids d’une histoire personnelle déjà engagée. ».

Comme ma mission est d’instruire ceux qui me lisent, je vais apprendre à Madame Gaulmyn un terme en allemand, qu’elle va A-DO-RER… Il résume succinctement comme savent faire les germaniques tout un concept en un ou deux mots : Lebensunwerten Lebens. Vie indigne de vivre. Rappelons que les nazis ont exterminés 6 % des handicapés allemands. Pour les trisomiques, on en est dans la France des vainqueurs à 99 %, sous les applaudissements de la ci-devant qui déploie l’étendard des conciliaires, celui de la culture de mort avec complicité de la fausse église, leur étendard à croix gommée.

La ci-devant Gaulmyn a reçu bien évidemment tout le soutien de la mafia conciliaire, ces poissons roses venus des étals d’Ordalfabétix. Mais elle reçu néanmoins des critiques dans les propres colonnes de son journal, par le biais de Thibaut Collin, qui évoquant un « vichyisme mental » (quoi que nazisme mental serait effectivement plus approprié, encore que les Alliés avaient les mêmes idées). Las. Ayant écraser les escarpins de sa Suffisance, cette dernière le fit dégager du journal comme un malpropre. Pour voir le vrai visage de la ci-devant Gaulmyn, celle de la secte tenant de « l’Evangile selon (saint) Marx » dénoncée en son temps par Serge Lama :

« Encore une remarque sur cette ligne éditoriale : Mme de Gaulmyn et ses estimés confrères se targuent volontiers d’être des parangons d’ouverture et de tolérance – quand nous-mêmes, cela va de soi, ne serions que des « fondamentalistes » sans cœur. Mais leur sectarisme est absolument invraisemblable. Je n’en prendrai qu’un exemple personnel. Figurez-vous, amis lecteurs, que, travaillant dans le domaine des relations institutionnelles, j’avais été sur le point de racheter un cabinet de lobbying, dans lequel travaillait le mari d’Isabelle de Gaulmyn. Je souhaitais qu’il devienne l’homme-clé du cabinet et lui avais même proposé de nous associer. Logiquement, je m’étais intéressé à ses compétences professionnelles et non à son idéologie – me réjouissant simplement de pouvoir travailler avec un catholique, ce qui ne m’a pas toujours été donné au cours de ma vie professionnelle. Eh bien, cette personne, après s’être montrée fort intéressée par le projet, mit brutalement fin aux négociations en me disant que son épouse ne supporterait pas qu’il travaille avec Guillaume de Thieulloy, cet affreux « Citizen Kane de la cathosphère » comme dirait « Libération ». Comme je suis attaché au mariage chrétien et que je ne tenais pas à torpiller le couple du malheureux, j’ai laissé tomber ce projet de rachat, cependant cela m’a donné à penser… Mais, naturellement, c’est nous qui sommes censés être sectaires ! Ces excellentes gens en sont encore au très jacobin mot d’ordre : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! » (où la notion d’ennemis de la liberté est, tout naturellement, définie par le Pouvoir). »

Quant aux « chrétiens de gauche », qui sont aussi chrétiens que la République Démocratique Allemande (ce pays policier si vénéré par Témoignage Chrétien) était démocratique, Guillaume de Thieulloy rappelle à juste titre que

« La réalité, c’est que « « La Croix » n’a aucune autorité dans l’Eglise. Et le corollaire de cette réalité, c’est que, dans une situation de libre concurrence, elle tomberait à quelques milliers de lecteurs, les derniers survivants de ce catholicisme de centre-gauche, qui ne voient aucun inconvénient à s’allier avec les communistes, mais se récrient devant « l’extrémisme » de François Fillon ! Si elle ne compte pas loin d’une centaine de milliers d’abonnés, c’est du fait de cette ambiguïté fondamentale et de ce syndrome de la chauve-souris. Mme de Gaulmyn a coutume de hurler avec les loups contre le populisme et contre la blogosphère catholique qui l’exaspère au plus haut point – au point d’ailleurs qu’elle a plusieurs fois sommé les évêques de fulminer des sanctions canoniques contre plusieurs sites de cette blogosphère ! »

Rappelons comme le disais notre cher abbé lors de son sermon du 4e dimanche après la Pentecôte : « La Loi de Dieu est intangible, quand bien même les autorités de l’Eglise seraient contre »…

Les pulsions morbides de la secte conciliaire qui n’en finit pas de se décomposer enlève le peu de crédit qui lui reste. Il faut s’en tenir loin, très loin. On ne discute par avec des cadavres, et vouloir les ranimer, ce n’est pas de la spiritualité, c’est de la nécromancie ! Des décennies d’étude de la filmographie consacrée aux morts-vivants m’ont appris de manière définitive, c’est que la place d’un zombie, c’est de retourner faire dodo (éternellement) dans son caveau. Soumise aux puissances d’argents, collaboratrice des dictatures (les chrétiens de gauche ont activement collaborés avec la STASI, la SB ou le Cong An), facilitant l’invasion de nos pays pour le compte des multinationales apatrides, la secte conciliaire tels les pharisiens de la Bible, font le mal à coups de tampons. Et je finirais par cette chanson de Serge Lama qui lui valut la haine de la presse officielle de Vatican II :

« Je vous salue Marie, Pleine de grâces, que vôtre nom soit sanctifié. L’Evangile est soumis à ceux d’en face. Votre fils est re-crucifié ».

Hristo XIEP

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