Les évêques de Nouvelle-Zélande demandent pardon aux invertis

L’Église conciliaire se perd dans les contradictions sans même s’en rendre compte.

Alors qu’éclate au grand jour ce qui sera certainement un des plus grands scandales de l’histoire de l’Église post-concile, la corruption homosexuelle d’ecclésiastiques notoires mêlés à de sombres affaires de mœurs impliquant notamment des enfants et des adolescents, les évêques de Nouvelle-Zélande ont pris la décision de dédouaner les pratiques contre-nature.

L’archevêque de Wellington et vice-président de la Conférence Épiscopale Néo-zélandaise, le cardinal John Dew, a proclamé récemment :

« Nous [les évêques néo-zélandais] reconnaissons humblement nos erreurs en particulier par rapport à des groupes déterminés comme la communauté Lgbt, qui s’est sentie très fortement rejetée par l’Église. Peut-être nous n’avons pas fait assez aussi pour venir à la rencontre des besoins des communautés issues d’une récente immigration. »

Cette déclaration ferait suite, paraît-il, à un sondage d’où ressortirait que 47 % des sondés se sont éloignés du christianisme à cause de son attitude envers les personnes homosexuelles. A la remorque des modes contemporaines, les prélats conciliaires préfèrent donc se soumettre aux diktats de la Gaystapo plutôt que de rester ancrés dans la saine et sainte doctrine catholique.

Depuis que Vatican II a voulu ouvrir l’Église au monde moderne, c’est ainsi que vogue la galère conciliaire, aujourd’hui battant pavillon arc-en-ciel, symbole de l’a-civilisation nihiliste de Notre Temps apostat post-moderne… La corruption de la doctrine finit dans les eaux sales de la corruption des mœurs !

Francesca de Villasmundo

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