« L’idéologie gender fait le jeu des pédophiles »

« Le gender est un problème sérieux et délicat. Nous savons qu’il y a des milieux internationaux qui font de fortes pressions pour que l’enfant devienne un humain indistinct du point de vue sexuel. Cela fait le jeu des pédophiles parce qu’ils regardent les enfants au-delà du sexe d’appartenance. Le pédophiles sont attirés par des enfants pré-pubères. Dans plusieurs cas il serait préférable de parler d’ »infantiphilie ». Pour le pédophile le sexe de l’enfant a peu d’importance, qu’il soit garçon ou fille. Pour eux, il est important qu’il n’ait pas de caractéristiques sexuelles matures. Comme le gender se rattache à ces milieux culturels relativistes, nous pouvons dire que le gender crée un terrain fertile pour ces tendances »

dénonce, dans une interview au quotidien italien la Nuova Bussola quotidiana, Don Noto , célèbre prêtre engagé dans la protection de l’enfance et qui est membre, en Italie, de l’Observatoire pour la lutte contre la pédophilie. Particulièrement la pédopornographie sur Internet.

Il rapporte également que des groupes organisés de pédophiles essayent de normaliser le phénomène. En Hollande, il existe un mouvement de pédophiles qui ont lancé une journée internationale de la pédophilie ouvertes aux pédophiles du monde entier. Ce fut Don Noto qu’il l’a découverte et dénoncée :

« Il existe un mouvement qui s’appelle Front de Libération des pédophiles et j’ai subi des menaces de certains membres de cette organisation. Parfois j’ai été mis sous escorte policière en raison des nombreuses menaces reçues de pédophiles condamnés. »

Le gender, qui nie la différence sexuelle et la complémentarité naturelle entre l’homme et la femme, qui détruit toute loi morale naturelle, est en soi une perversion intellectuelle, une doctrine aberrante et un non-sens dans l’ordre naturel, ce qui suffit amplement à le discréditer et à le combattre.

Qu’il fasse les affaires des pédophiles rend encore plus cruciale la lutte contre cette idéologie mortifère, issue de cette culture de mort qui caractérise notre société occidentale matérialiste et hédoniste, cette non-civilisation décadente, où triomphe l’ »individualisme totalitaire »! L’individu mesure de toute chose, l’individu absolu, laissé libre d’assouvir toutes ses passions, libre de ne se sentir ni homme, ni femme, ni père, ni mère, ni épouse ni époux, ni fille ni garçon, de s’accoupler avec qui il veut, de tuer son enfant dans son ventre ou de se tuer lui-même vieillard impotent…

Francesca de Villasmundo

 

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