La section "Revue de Presse" de medias-catholique.info a pour seul objectif de constituer une base d'information. Les articles qui y sont rapportés ne constituent en aucune manière une adhésion à ce qui y est dit. Pour une appréciation commentée de l'actualité religieuse visant à donner une critique doctrinale de celle-ci, il faut se référer à la rubrique "Religion - Les articles de medias-catholique.info" |
La franc-maçonnerie naît officiellement à Londres le 24 juin 1717. La première condamnation pontificale ne date que de quelques années plus tard : Clément XII publie l’encyclique In eminenti apostolatus (voir infra) le 28 avril 1738, vingt et un ans après la formation de la Grande Loge de Londres.
Secte politico-religieuse, la franc-maçonnerie veut refaire le monde sur des bases nouvelles, fort différentes des anciens principes chrétiens qui ont été pendant deux mille ans les assises de la civilisation occidentale. Même si elle se déclare déiste en certaines de ses branches, elle prône la suprématie de l’homme, affranchi de tout principe qui lui serait supérieur.
La franc-maçonnerie a donc toujours eu pour but de détruire le catholicisme, de « décatholiciser le monde » (1) ; comme méthode préférée, elle utilise l’entrisme (autrement dit la pénétration clandestine dans un corps constitué) ; elle a très logiquement pratiqué cet entrisme dans divers corps et institutions catholiques.
On peut distinguer deux types de pénétration maçonnique dans l’Église : pénétration des idées, d’une part ; affiliation d’hommes d’Église à la franc-maçonnerie, d’autre part. Y a-t-il eu dans le passé un nombre significatif d’ecclésiastiques francs-maçons ? Très certainement oui ; et cela de façon continue, du XVIII° siècle à nos jours.
Consulter notre dossier complet sur La Porte Latine
Cet article vous a plu ? Medias-Presse-Info est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !