Après la nouvelle claque retentissante que le parti immigrationniste pro-islamique à reçu sur la joue d’Angela Merkel, l’ONU accoure pour stigmatiser le populisme porteur de tous les dangers pour l’idéal globaliste de l’Organisation des Nations-Unies. C’est le haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, le Jordanien Zeid Ra’ad Al Hussein, qui est à la manoeuvre; il a vivement critiqué à La Haye, lundi, les responsables politiques populistes, citant notamment Donald Trump et le dirigeant néerlandais Geert Wilders, en passe de faire très mal au politiquement correct mondialiste. Si les élections présidentielles américaines s’achèveront dés le 8 novembre 2016, les élections législatives aux Pays-bas sont prévues au printemps prochain, alors que le parti identitaire de Geert Wilders caracole en tête dans les sondages depuis des mois et des mois.
Dans le viseur de l’ONU les élections générales: présidentielles et législatives, dont le Brexit a été l’avant-coureur. Les élections partielles un peu partout en Occident sont de très mauvais augures pour les métisseurs globalistes du grand marché du libre-échange sans frontières ni nations, débarrassé de l’identité civilisationnelle chrétienne et blanche. Les fondements de la nouvelle Tour de Babel qu’est l’ONU, vacillent, comment les colmater ?
Le chef des droits de l’homme à l’ONU s’en est vivement pris aux propositions du PVV [Parti pour la Liberté] de Geert Wilders en Hollande, prétendant que le chef charismatique des identitaires néerlandais avait beaucoup de points communs avec le candidat républicain à l’élection présidentielle américaine Donald Trump, le premier ministre hongrois Victor Orban, la dirigeante française Marine Le Pen , et l’ex-dirigeant du parti britannique Nigel Farage, promoteur du Brexit. (Autant de pays dans lesquelles des élections générales sont imminentes).
Parmi ces vilains représentants du peuple, Le parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders souhaite entre autres, « désislamiser » le pays, notamment en fermant les frontières et centres de demandeurs d’asile, en interdisant l’arrivée de migrants originaires de pays musulmans, et le retour aux Pays-Bas de personnes parties en Syrie, sans compter qu’il demande un référendum sur le Nexit (en faveur de la sortie des Pays-bas de l’Union européenne). Le mois dernier, le parti néerlandais PVV a lancé sa campagne pour les législatives de mars 2017 en affirmant vouloir « fermer toutes les mosquées » en cas de victoire.
Il est vrai que tous les chefs politiques que le Jordanien Zeid Ra’ad Al Hussein a dans son viseur prônent tous le respect de l’identité de leur pays respectif. Se drapant dans les droits de l’homme, ce musulman a prétendu « défendre et promouvoir les droits de l’homme de chacun, partout », qualifiant de « démagogues », ceux qui sont plébiscités par les peuples, ceci à l’occasion de l’inauguration de la Fondation pour la paix, la justice et la sécurité de La Haye. Une Fondation dont on imagine bien que le rôle n’est pas de préserver les racines chrétiennes du pays, ni l’identité des autochtones, mais plutôt de lutter contre ceux qui les promeuvent devant leurs électeurs et de leurs glisser tous les chausse-trappe possibles pour les abattre.
La reductio ad hitlerum (versus ad État islamique)
Franchissant un degré supplémentaire, Zeid Ra’ad Al Hussein a également affirmé que ces chefs identitaires partageaient tous des similarités avec l’idéologie prônée par le groupe État islamique: « Ils cherchent tous, à des degrés divers, à réanimer un passé, sous une forme merveilleuse et si pure, où les champs ensoleillés sont habités par des peuples unis par l’ethnicité ou la religion », a-t-il expliqué, soulignant que ce passé « très probablement, en réalité, n’a jamais existé ». (Source)
Quel bel exercice de renversement de la réalité! C’est justement suites aux attentats islamiques meurtriers que les peuples, pour leur défense et leur survie se réfugient derrière ceux qui se présentent pour les défendre! Une inversion des réalités, cul par-dessus tête, à laquelle les idéologues de l’ONU sont coutumiers. L’ONU qui promeut par ailleurs le remplacement des populations européennes par des « migrations de remplacement » tout en promouvant de façon agressive l’avortement parmi ces mêmes Européens. Lorsque la promotion hystérique de la démocratie ne sert plus leurs desseins inavoués, c’est à la paix qu’ils en appellent, un argument très couru au Vatican aussi.
emiliedefresne@medias-presse.info
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