L’Ordre de Malte sous le joug stalinien

Entre purges et flicage, Jorge Bergoglio impose sa tyrannie au Vatican tel un homme d’acier. Staline dans la langue de Pouchkine. Le Samedi Saint (31 mars), les membres de l’Ordre de Malte ont reçu une directive digne des plus belles heures du NKVD, si on en croit The Catholic Herald :

« Nous vous demandons de faire extrêmement attention à ne pas exposer l’Ordre à de nouveaux dommages et de signaler rapidement tout comportement qui ne serait pas conforme à celui associé à l’appartenance à l’Ordre. »,

le tout assortie de menaces de sanctions qui peuvent aller de l’avertissement à l’expulsion, au titre des articles 119 à 125 du Code de l’Ordre. Tous les chevaliers ont été mis en garde contre l’utilisation des réseaux sociaux : ils ne doivent pas faire de déclarations « offensantes à l’égard du Saint Père » ni prendre la défense du livre Le pape dictateur dont l’auteur, « Marcantonio Colonna » s’est révélé être un chevalier de l’Ordre de Malte, Henry Sire. Celui-ci a été suspendu aussitôt son identité révélée, une suspension qu’il estime illégale.

Comme le dit la Sainte Ecriture, dans la 2e Epitre de Pierre, verset 22 :

« Le chien est retourné à ce qu’il avait vomi, et la truie lavée s’est vautrée dans le bourbier ».

Il n’est pas étonnant que celui que Témoignage Chrétien idolâtrent comme jadis certains prétendus chrétiens ont idolâtré Staline ou Castro, se transforme en despote, refusant tout dialogue, emmuré dans ses certitudes. Il n’est pas étonnant que l’israélite Gregor Gysi, du parti d’extrême-gauche Die Linke et fils d’un dignitaire de la RDA, l’encense et le juge formidable. Il n’est pas non plus étonnant de l’avoir vu célébrer la messe avec, placé au-dessus du Christ, psychopathe raciste Ernesto « Che » Guevara, qui prônait notamment : « la haine comme facteur de lutte, la haine intransigeante de l’ennemi, qui permet à l’être humain de dépasser ses limites, et le transforme en une efficace, violente, sélective et froide machine à tuer ». Haine que l’on retrouve chez toute la clique conciliaire – papolâtres en tête – contre ceux qui ont le malheur de vouloir prier différemment… Rappelons qu’en 2012, Benoit XVI avait célébré la messe en tournant le dos au boucher argentin, preuve que son successeur avait certaines inclinaisons pour son sanguinaire compatriote.

Hristo XIEP

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