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« Monseigneur Lefebvre : Tradidi quod et accepi. J’ai transmis ce que j’ai reçu. Réponse au livre d’Yves Chiron sur « Dom Gérard » ou pour l’honneur de Mgr Lefebvre. En mémoire de Mgr Lefebvre et pour son honneur ».
C’est ainsi que M. l’abbé Paul Aulagnier [Photo ci-dessus], qui fut un des premiers membres de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie-X (FSSPX) fondée par Mgr Lefebvre, et qui fut Supérieur du District de France de 1976 à 1994, a publié sur son site Item une très longue critique du livre hagiographique écrit par Yves Chiron à la demande de Dom Louis-Marie, Père Abbé du Barroux, à l’occasion du dixième anniversaire du Dies natalis de Dom Gérard Calvet.
La seule courte réponse d’Yves Chiron au courageux défenseur de Mgr Lefebvre est cette phrase emblématique d‘un historien qui a choisi son camp, celui du Concile Vatican II (1): « Dieu merci, ce livre, fruit de dix ans de travail, a eu d’autres lecteurs, plus bienveillants. On me permettra de citer ces mots, manuscrits, de notre pape émérite Benoît XVI, qui a lu le livre et qui m’a écrit: «Merci du cœur pour votre grand livre!».
« Ab uno disce omnes » : Et qu’un seul vous apprenne à les connaître tous (Virgile, Énéide, liv. II, v. 65)
Texte intégral de M. l’abbé Paul Aulagnier écrit le 28 avril 2018 pour Item/Un disciple
En mémoire de Mgr Lefebvre et pour son honneur
« Tradidi quod et accepi ». Ces paroles expriment tout l’idéal épiscopal de Mgr Lefebvre, une volonté de fidélité. Il voulut être un évêque fidèle. « J’ai transmis ce que j’ai reçu ». C’est ce qu’il voulut faire durant sa vie épiscopale tant en Afrique qu’en France. Ces paroles furent prononcées par Mgr Lefebvre lors de sa prédication, du 30 juin 1988, alors qu’il conférait le sacre épiscopal à quatre de ses disciples au séminaire d’Ecône, devant une foule importante de fidèles. D’aucuns y ont vu un « acte schismatique ». Yves Chiron, dans son nouveau livre sur Dom Gérard : « Dom Gérard. Tourné vers le Seigneur » le dit haut et fort, invoquant sans autre argument, la discipline ecclésiastique, le Droit Canon, sans tenir compte de la « crise » de l’Eglise pourtant réelle.
Ce livre est très historique et sous ce rapport, intéressant. Il faut l’en féliciter. Un vrai travail de moine ! Que d’archives consultées, ordonnées, analysées !
C’est un livre en « commande ». L’auteur ne le nie pas, mais il affirme tout autant avoir gardé toute sa liberté d’écrivain, d’historien…C’est d’autant plus grave et pour lui et pour les commanditaires, tant les accusations sont graves et lourdes de conséquences pour l’honneur de Mgr Lefebvre et pour le monastère. Les commanditaires en sont les moines du Barroux puisque il est édité aux « éditions Sainte Madeleine », les éditions du monastère…. Si les « accusations » sont du seul chef d’Yves Chiron….la publication du livre laisse entendre que les moines épouse sa pensée, sa « doctrine » ses accusations » (Voir la lettre aux amis du monastère n° 165)… Autrement, les moines ne l’auraient pas édité… Ce livre est révélateur d’une pensée…Il ne faudra pas l’oublier…
Ce livre est très sévère pour Mgr Lefebvre et son « combat » dans l’Eglise, très sévère pour la Fraternité sacerdotale saint Pie X, son œuvre, pourtant si brillante et si missionnaire. L’auteur et donc les moines parlent du « schisme de Mgr Lefebvre »(2), ni plus ni moins, en raison des Sacres » faits par ce dernier, le 30 juin 1988, soutenu par Mgr de Castro Mayer, évêque émérite de Campos, au Brésil. Il en parle non pas une fois, comme en passant, mais « mille » fois. C’est même comme un leit-motiv, lancinant et pénible. Il ne donne aucune preuve sinon l’argument « canonique », le seul, l’argument disciplinaire. «Mais attention la lettre tue et l’esprit vivifie ». C’est ce que disait NSJC face aux pharisiens. Ces derniers condamnèrent même Jésus en raison de leur « Loi »…C’est ce qu’ « il » fait lui aussi condamnant Mgr Lefebvre, utilisant uniquement la « lettre ». J’ai lu tout le livre avec attention.
C’est ainsi que l’auteur intitule son chapitre 11 : « 1988, refus du schisme » (sous-entendu par Dom Gérard). Ce jugement est catégorique, loin d’être nuancé. Il est sans cesse répété, justifié auprès des moines et des fidèles qui fréquentent le monastère. Par exemple, l’auteur cite Dom Gérard, au moment de son éloignement puis de sa rupture avec Mgr Lefebvre. A cette époque-là, Dom Gérard met en garde contre une erreur bien actuelle : « n’ayons pas le romantisme du petit nombre, le romantisme de nous trouver très contents d’être en dehors de la légalité. Cette situation est un état violent. Elle n’est qu’un ultime refuge. L’Eglise étant une société, le cadre est important (il est d’origine divine). Gardons le sens de l’Eglise. Ne tombons pas dans une mentalité de secte » (p. 481). Dans ce chapitre, l’auteur ne cesse d’utiliser ces mots de secte, de schisme, d’excommunication, « à l’origine de cet acte schismatique… », d’infidélité à l’autorité ecclésiastique… Par exemple il dit que la communauté de l’Annonciation (les bénédictines d’à côté) s’engagea, elles, sans défection, dans la voie de la réconciliation avec le saint Siège….Mère Elizabeth ne pouvait approuver l’acte schismatique accompli » (p 504). Elle en est félicitée. Tout est à l’encan…
Il va même jusqu’à dire, citant Dom Gérard, que Mgr Lefebvre n’avait pas le « sensus ecclesiae ». Pas moins ! Dans son testament, Dom Gérard écrit « pour le monastère » : « Aimez l’Eglise, sa liturgie, son Magistère, le Souverain Pontife. Ayez le sentire cum ecclesia. C’est l’amour de l’Eglise qui nous a sauvés du schisme. Mgr Lefebvre avait tout d’un grand homme d’Eglise. Ce qui lui a manqué, c’est le sensus ecclesiae, cet instinct surnaturel qui fait sentir ce qui est conforme à la pensée de l’Eglise. Il a progressivement perdu ce sensus ecclesiae par crainte d’affaiblir sa résistance » (p 566). Ce n’est pas très joli d‘écrire cela, après avoir tant reçu de ce prélat. Si les moines jouissent de la messe tridentine, la messe de « toujours », c’est bien grâce au « combat » de Mgr Lefebvre, et à sa fidélité à la Tradition, soutenu par d’autres prêtres, le Père Calmel, l’abbé Coache, le Père Barbara et de nombreux laïques, Jean Madiran, Louis Salleron, Luce Quenette…un vrai général en chef …. Sans cette résistance « héroïque », nous n’aurions jamais eu la joie du Motu Proprio de Benoît XVI Summorum Pontificum reconnaissant que la messe « ancienne » n’avait jamais été abolie. On a même l’impression, à certains moments du livre, que ses moines ou du moins l’auteur du livre, lui reprochent ce combat, cette résistance. Il a osé se dresser contre l’autorité ecclésiale ! Dom Gérard est même quelque fois embarqué dans la critique…Je trouve que c’est un manque évident de justice, et même un manque à la piété filiale due.
Mgr Lefebvre est ainsi attaqué injustement dans ce livre et ces commanditaires indignes : les moines. Sur ce chemin, ils vont se perdre. Avec de tels arguments, ils n’auraient pas mené le « bon combat »…il y a trente ans….Et si ce combat se renouvelait, ils se réfugieraient, c’est à craindre, dans la « sainte obéissance », comme d’autres communautés de l’époque le firent ?
En écrivant ce nouveau livre sur Mgr Lefebvre, j’ai la ferme intention de défendre sa mémoire, son honneur mis à mal par ce livre de Yves Chiron.
« J’ai transmis ce que j’ai reçu ». Voilà en quelques mots le résumé de la personnalité de Mgr Lefebvre. Il les prononça lors de son discours du 30 juin 1988, le jour des Sacres :
« Loin de moi de m’ériger en pape. Je ne suis qu’un évêque de l’Église catholique qui continue à transmettre, à transmettre la doctrine. Tradidi quod et accepi. C’est ce que je pense…c’est ce que je souhaiterais qu’on mette sur ma tombe, et cela ne tardera sans doute pas… qu’on mette sur ma tombe Tradidi quod et accepi – ce que dit saint Paul – « Je vous ai transmis ce que j’ai reçu », tout simplement. Je suis le facteur qui porte une lettre. Ce n’est pas moi qui l’ai faite cette lettre, ce message, cette parole de Dieu, c’est Dieu Lui-même, c’est Notre Seigneur Jésus Christ Lui-même, et nous vous l’avons transmis, par l’intermédiaire de ces chers prêtres qui sont ici présents, et par tous ceux qui, eux-mêmes, ont cru devoir résister à cette vague d’apostasie dans l’Église, en gardant la Foi de toujours et en la transmettant aux fidèles. Nous ne sommes que des porteurs de cette nouvelle, de cet évangile que Notre Seigneur Jésus Christ nous a donné et des moyens pour nous sanctifier : la Sainte Messe, la vraie Sainte Messe, les vrais sacrements, qui donnent vraiment la vie spirituelle. Il me semble entendre la voix de tous ces papes depuis Grégoire XVI, Pie IX, Léon XIII, saint Pie X, Benoît XV, Pie XI, Pie XII, nous dire :
« Mais de grâce, de grâce, qu’allez-vous faire de nos enseignements ? de notre prédication ? de la Foi catholique ? Allez-vous l’abandonner ? Allez-vous la laisser disparaître de cette terre ? De grâce, de grâce, continuez à garder ce trésor que nous vous avons donné. N’abandonnez pas les fidèles ! n’abandonnez pas l’Église ! continuez l’Église ! Car enfin, depuis le concile, ce que nous avons condamné, voici que les autorités romaines l’adoptent, et le professent, comment est-ce possible ? Nous avons condamné le libéralisme, nous avons condamné le communisme, le socialisme, le modernisme, le sillonnisme, toutes ces erreurs que nous avons condamnées, voici maintenant qu’elles sont professées, adoptées, soutenues par les autorités de l’Église : est-ce possible ? Si vous ne faites pas quelque chose pour continuer cette Tradition de l’Église que nous vous avons donnée, tout disparaîtra. L’Église disparaîtra, les âmes seront toutes perdues ».
Nous nous trouvons devant un cas de nécessité. Nous avons tout fait pour essayer que Rome comprenne qu’il faut revenir à cette attitude du vénéré Pie XII et de tous ses prédécesseurs. Nous avons écrit, nous sommes allés à Rome, nous avons parlé, nous avons envoyé des lettres – Monseigneur de Castro Mayer et moi-même – plusieurs fois, à Rome ; nous avons essayé par ces colloques, par ces moyens, d’arriver à faire comprendre à Rome que depuis le Concile, cet aggiornamento, ce changement qui s’est produit dans l’Église, n’est pas catholique, n’est pas conforme à la doctrine de toujours de l’Église. Cet œcuménisme et toutes ces erreurs, ce collégialisme, tout cela est contraire à la Foi de l’Église, est en train de détruire l’Église.
C’est pourquoi, nous sommes persuadés qu’en faisant cette consécration aujourd’hui, nous obéissons à l’appel de ces papes et, par conséquent, à l’appel de Dieu car il représente Notre Seigneur Jésus Christ dans l’Église ».
Il est évident que Mgr Lefebvre affirmait ainsi sa fidélité totale à l’enseignement de toujours de la saint Eglise, à l’enseignement de ces Pontifes romains, fidèles eux-mêmes à l’enseignement de Dieu et de son Fils Jésus. Voilà comment il faut juger les « sacres ». J’y reviendrai.
Il s’inspirait clairement de l’attitude de saint Paul qu’il site même dans cette homélie.
C’est bien en effet à cette fidélité que saint Paul fait allusion alors qu’il transmet, lui aussi, aux communautés la sainte Eucharistie instituée par Notre Seigneur Jésus-Christ lors de la sainte Cène, le Jeudi Saint. Il affirme cette fidélité aux Corinthiens dans les termes mêmes qu’utilisera Mgr Lefebvre: « Ego enim accepi a Domino quod et tradidi vobis, quoniam Dominus Jesus in qua nocte tradebatur accepit panem et gratias agens fregit et dixit : accipite et manducate, hoc est corpus meum quod pro vobis tradetur : hoc facite in meam commémorationem. Similiter et calicem postquam cenavit dicens : Hic calix novum testamentum est in meo sanguine. Hoc facite, quotiescumque bibetis, in meam commemorationem ».
« Car, pour moi, j’ai reçu du Seigneur, ce que je vous ai aussi transmis, savoir, que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et après avoir rendu grâces, le rompit et dit : prenez et mangez : ceci est mon Corps qui sera livré pour vous ; faites ceci en mémoire de moi ». De même, après avoir soupé, il prit le calice et dit : « ce calice est la Nouvelle Alliance en mon sang ; faites-ceci ; toute les fois que vous en boirez, en mémoire de moi ». (I Cor 11 23-25)
Saint Paul transmet bien ce qu’il a lui-même reçu du Seigneur: la Sainte Eucharistie. Entre saint Paul et Mgr Lefebvre, les mots sont identiques. Ils expriment l’identité d’une pensée. Mais plus encore : la chose elle-même transmise est la même : le saint Sacrifice de la messe, la Sainte Eucharistie.
C’est en effet ce que Mgr Lefebvre déclarait solennellement le 30 septembre 1979 (3) , à la porte de Versailles, dans le Hall 6, aujourd’hui détruit, lors de la grande manifestation que j’ai eu l’honneur d’organiser pour son jubilé sacerdotal. Voilà ses paroles. Elles sont émouvantes :
« Je terminerai, mes bien chers frères, par ce que j’appellerai, un peu, mon testament. Testament, c’est un bien grand mot, parce que je voudrais que ce soit l’écho du testament de Notre-Seigneur, novi et aeterni testamenti.
« Novi et aeterni testamenti », c’est le prêtre qui récite ces paroles à la consécration du précieux Sang. « Hic est calix sanguinis mei, novi et aeterni testamenti », l’héritage que Jésus-Christ nous a donné, c’est son Sacrifice, c’est son Sang, c’est sa Croix. Et cela est le ferment de toute la civilisation chrétienne et de ce qui doit nous mener au ciel.
Aussi je vous dis:
Pour la gloire de la Très Sainte Trinité,
pour l’amour de Notre-Seigneur Jésus-Christ,
pour la dévotion à la Très Sainte Vierge Marie,
pour l’amour de l’Eglise,
pour l’amour du pape,
pour l’amour des évêques, des prêtres, de tous les fidèles,
pour le salut du monde,
pour le salut des âmes,
gardez ce testament de Notre-Seigneur Jésus-Christ!
Gardez le Sacrifice de Notre-Seigneur Jésus-Christ!
Gardez la messe de toujours!
Et vous verrez la civilisation chrétienne refleurir, civilisation qui n’est pas pour ce monde, mais civilisation qui mène à la cité catholique, et cette cité catholique, c’est la cité catholique du ciel qu’elle prépare. Elle n’est pas faite pour autre chose, la cité catholique d’ici-bas, elle n’est pas faite pour autre chose que pour la cité catholique du ciel.
Alors en gardant le Sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ, en gardant son Sacrifice, en gardant cette messe, messe qui nous a été léguée par nos prédécesseurs, messe qui a été léguée depuis les Apôtres jusqu’à aujourd’hui – et dans quelques instants je vais prononcer ces paroles sur le calice de mon ordination, et comment voulez-vous que je prononce, sur le calice de mon ordination, d’autres paroles que celles que j’ai prononcées il y a cinquante ans sur ce calice, c’est impossible, je ne puis pas changer ces paroles – alors nous continuerons à prononcer les paroles de la consécration, comme nos prédécesseurs nous l’ont appris, comme les papes, les évêques et les prêtres qui ont été nos éducateurs nous l’ont appris, afin que Notre-Seigneur Jésus-Christ règne et que les âmes soient sauvées par l’intercession de notre Bonne Mère du ciel.
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il ».
Comment exprimer plus fortement la fidélité à l’enseignement de l’Eglise ! On pourrait mettre dans la bouche de Mgr Lefebvre ce que saint Paul lui-même écrivait aux Galates : « Je m’étonne que si vite vous vous laissiez détourner de celui qui vous a appelés en la grâce de Jésus-Christ, pour passer à un autre Evangile : non certes qu’il y en ait un autre ; seulement il y a des gens qui vous troublent et qui veulent changer l’Evangile du Christ. Mais quand nous-même, quand un ange venu du ciel vous annoncerait un autre Evangile que celui que vous nous avons annoncé, qu’il soit anathème ! Nous l’avons dit précédemment, et je le répète à cette heure, si quelqu’un vous annonce un autre Evangile que celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème ! En ce moment, est-ce la faveur des hommes ou celle de Dieu que je recherche ? Mon dessein est-il de complaire aux hommes ? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur du Christ. » (Galates 1 3-10)
Oh que ces phrases de saint Paul sont belles ! Oh combien elles reflètent joliment la personnalité de Mgr Lefebvre
« Mon dessein est-il de complaire aux hommes ? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur du Christ ». Citer ces paroles, c’est faire le plus bel éloge de Mgr Lefebvre ! Il voulut toute sa vie être « le serviteur du Christ ». « Son dessein ne fut pas de complaire aux hommes ». Je l’affirme, moi qui aie vécu de nombreuses années à ses côtés. Cela le conduisit jusqu’aux sacres de 1988. Je l’expliquerai plus loin…
Voilà, je crois, tout l’idéal de Mgr Lefebvre. Il le montrera toute sa vie et dans son enseignement et dans son action. Ce sera l’objet de ce livre.
Dans sa doctrine. Ce sera l’objet du chapitre 1.
Dans son action, ce sera l’objet du chapitre2.
Aussi est-il bien légitime de prendre la défense de son honneur d’Apôtre, lui qui fut « bafoué » par les hommes tant ecclésiastiques que civils, aujourd’hui comme hier. Ce sera l’objet du chapitre 3.
Présenter une apologie de Mgr Lefèvre, apologie pour répondre aux accusations que répètent iterum et iterum M Yves Chiron dans son tout récent livre sur Dom Gérard : « Dom Gérard. Tourné vers le Seigneur ». On ne peut se taire. Il me faut protester.
Lire l’intégralité de cette belle lettre sur La Porte Latine
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