La première année de son pontificat, il avait été, pour la Messe et le lavement des pieds du Jeudi Saint, dans une prison pour mineur, le Casal del Marmo, où il avait lavé les pieds d’une jeune fille musulmane, l’année suivante dans un centre pour handicapés et anciens, où pareillement il avait lavé les pieds d’un musulman, et l’an dernier dans la fameuse prison romaine de Rebibbia.
Depuis le 21 janvier 2016, il a modifié, par un décret, le rite liturgique du Jeudi Saint : les femmes seront admises, dorénavant, à présenter leur auguste pied au prêtre officiant. Geste révolutionnaire, le lavement des pieds rappellant celui effectué par le Christ à ses apôtres qui étaient 12 hommes.
Pour sa quatrième célébration du Jeudi Saint, qui adviendra le 24 mars prochain, le pontife François a décidé qu’il célébrera, cette fois-ci, la messe «in coena Domini» avec le traditionnel mais devenu révolutionnaire lavement des pieds, en compagnie des « réfugiés et « migrants » d’une structure d’accueil romaine.
Jour solennel de la vie liturgique de l’Église catholique, le Jeudi Saint Saint est devenu, sous l’ère bergoglienne, et grâce à la complicité de médias complaisants, un manifeste socialisant et gauchiste, où immigration, injustice sociale, féminisme, ont la part belle.
Tous les moyens sont bons, même les plus sacrés, pour révolutionner et réformer l’humanité à travers le prisme d’une idéologie utopiste et chimérique, progressiste et folle, d’une société déterminée par les concepts de liberté, égalité et fraternité. Idéologie qui envoûte le pape argentin.
Francesca de Villasmundo
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